Information
Dañsomp ar vro, en breton « Dansons le pays »…
C’est bien là l’ambition de cette création portée par les jeunes ambassadeurs du pays d’Auray.
Danser son pays, dire qui l’on est et savoir où l’on va.
Créer des passerelles entre hier et aujourd’hui, entre réalité et fantastique…
Plusieurs tableaux pour naviguer dans les émotions de l’enfance.
Hier, aujourd’hui, demain.
Tous,
Nous jouons, nous imitons, nous imaginons…
Des enfants porteurs d’émotion et de tradition.
Des héritiers pleins d’insouciance et d’espérance.
« On dit que toutes ces pierres étaient autrefois un ancien cimetière gaulois. Chaque mort qu’il y avait on y mettait une pierre.
Mais la légende dit aussi que Saint-Cornely, poursuivi jusqu’au bord de la mer par des soldats païens, ne trouvant plus de vaisseau pour s’enfuir se cacha dans l’oreille d’un de ses bœufs. Changea tous ces soldats en pierre.
C’est pourquoi que les monuments mégalithiques de Carnac s’appellent « soldats de Saint-Cornely ».
Toutes ces légendes que je vous récite je les ai appris (sic) par mes vieux parents. Mon grand-père, ma grand-mère, mes arrière-parents… Et maintenant je les apprends aux enfants.
Pour que dans notre pays de Carnac, on n’oublie pas cette légende des menhirs. »
« Ce spectacle a prouvé à quel point la jeunesse peut s’emparer et transcender notre Culture. Leur bonheur de vivre ce moment partagé était perceptible et transmissible. Merci à eux de nous avoir offert ce moment féerique. »
Kaourintine Hulaud, Conseillère Régionale de Bretagne
« Biskoazh bravoc’h ! Bravo aux jeunes et à leurs encadrants : quelle présence ! Que d’aisance et de maîtrise ! Une illustration fraîche, émouvante parfois, de ce qu’est la transmission. Une apothéose en féérie. Le tout servi par la musique, la mise en scène... Ur pezh a labour hag a ra enor d’ar vro. »
Daniel Carré, président de Ti Douar Alre
« C’est là l’aboutissement d’un projet qui a nécessité beaucoup d’énergie et de créativité, un spectacle à la fois ancré dans nos racines, profondes et identitaires, mais aussi pour une culture porteuse d’avenir. Quel bonheur aussi de mêler deux Pays qui défendent leurs racines Breizh/Euskadi. Trugarez d’en holl Bugale Bro an Alre, sonerion.... Eurus on tre evit Kenleur hag evit er Vro. »
Jean Guého, président honoraire de Kenleur